Saturday, September 27, 2014

Obtenir un ebook gratuit Mille femmes blanches (1)

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Mille femmes blanches (1)

Détails sur le produit

Poche: 512 pages

Editeur : Pocket (5 mai 2011)

Collection : Litterature

Langue : Français

ISBN-10: 2266217461

ISBN-13: 978-2266217460

Dimensions du produit:

10,8 x 2,4 x 17,8 cm

Moyenne des commentaires client :

4.4 étoiles sur 5

118 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

2.629 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Mille femmes blanches/Jim Fergus En 1874, le président des Etats-Unis Hiram Ulysses Grant (1822-1885) accepte l’idée incroyable du chef cheyenne Little Wolf pour qu’un armistice puisse s’établir et mettre un terme aux massacres de part et d’autres : il consent à offrir mille femmes blanches contre mille chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du peuple indien en leur apprenant les us et coutumes du monde civilisé. Certaines femmes sont volontaires libres, d’autres volontaires venant des pénitenciers ou d’asiles d’aliénés. Parmi ces dernières, May Dodd, mère de deux enfants, qui n’est pas folle du tout mais qui a été confiée à la psychiatrie par sa famille pour se débarrasser d’elle, accusée de perversion morale et de débauche sexuelle, nous raconte dans son journal tenu quotidiennement son aventure, ce départ dans la crainte vers un avenir improbable avec l’inconnu pour seul horizon. Elle écrit au moment du grand départ sous les ordres du Capitaine Bourke : « Il est tout de même franchement ironique de remarquer que pour échapper à l’asile, je me trouve embarquée dans l’entreprise la plus folle de ma vie !... Mais me voici de nouveau libre, de corps et d’esprit, ou du moins autant qu’on peut l’être lorsqu’on vient d’acheter sa liberté au prix de son ventre…Je suis peut-être naïve d’espérer que l’on puisse nous accorder quelque respect, puisque nous sommes les volontaires d’une expérience notable tant du point de vue social que politique…Franchement, vu la façon dont j’ai été traitée par les gens dits civilisés, il me tarde finalement d’aller vivre chez les sauvages. » L’installation au sein de la tribu se fait de la meilleure des façons encore que maintes surprises parfois cocasses attendent le premier groupe d’une quarantaine de femmes dont fait partie May. Chacune découvre avec appréhension son chacun. Ne parlant pas la même langue toute conversation se fait dans un premier temps par signes et par gestes. La nuit de noces se passe dans une sorte de rêve et le voyage de noces de façon assez étrange. May écrit : « Contre toute attente, je me trouvai envahie d’un puissant sentiment de paix et de satisfaction…Oui, malgré son étrangeté sauvage et ses difficultés, notre nouveau monde me semblait d’une douceur indicible ; je m’émerveillais de la perfection et de l’ingéniosité avec lesquelles les natifs avaient embrassé la terre, avaient trouvé leur place dans cette nature ; tout comme l’herbe du printemps, ils me semblaient appartenir à la prairie, à ce paysage. » Peu à peu les femmes blanches commencent à comprendre que le monde des sauvages est doté d’une matérialité à part, tout à fait inaccessible et étrangère à leurs propres critères. May devient une véritable squaw, aime son mari Little Wolf et prend soin de son tipi. Mais l’Homme Blanc a semé le poison et le whiskey fait son apparition qui va rendre fou les plus faibles. Les scènes d’orgies violentes se répandent et se répètent. Les femmes blanches tremblent et ne voient pas dans quelle mesure leur présence pourra faire évoluer les Cheyennes : « Je dois avouer qu’en dehors des grossesses que nous leur avons promises—promesse tenue—nos efforts entrepris dans le but d’enseigner aux sauvages les bénéfices de notre civilisation ne semblent guère couronnés de succès. » En fait il apparaît clairement à May que le contact de la civilisation blanche n’a réellement apporté à ces pauvres âmes que la ruine et le désespoir. Ce programme d’assimilation lui apparaît comme immoral et méprisable. Survient la découverte de l’or et la ruée célèbre qui s’en suit avec comme corollaire le projet de mise en réserves des Indiens et le « rachat » de leurs terres aurifères. Les Cheyennes accepteront-ils un tel marché de dupes ? Le 1er mars 1876, c’est l’embrasement final, un massacre… Dans cette magnifique et puissante épopée hautement romanesque, Jim Fergus a pris pour point de départ un fait historique pour tout à la fois brosser un très beau portrait d’une femme étonnante et remarquable, entonner un chant d’amour pour le peuple indien et condamner la politique indienne du gouvernement américain de l’époque.

Ce livre basé sur un fait réel, brodé, romancé de manière très convaincante, m'a immédiatement embarquée. Bien écrit, de manière fluide, sans redite ne laisse que peu de répit au lecteur. Il n'y a pas de temps mort, mais une suite de situations aussi inattendues que persuasives. A part peut être deux ou trois détails que l'on peut trouver un peu tirés par les cheveux mais - il ne faut pas l'oublier en la lisant - cette histoire est BASéE sur un fait historique qu'il est fort intéressant de connaitre d'ailleurs, cependant les péripéties de May sont pour beaucoup, imaginées et / ou remaniées.Des paysages si bien décrits que l'on s'y croirait, aucune difficulté à se faire une image des lieux et des personnages qui sont par ailleurs, très attachants car de toutes origines et avec pour chacun, un caractère bien défini, bien distinct de celui des autres.Une fin très bien ficelée ( Dieu que c'est rare de ne pas finir sur un goût de trop ou de trop peu ) là , c'est parfait. On peut se permettre de lire la suite ( La vengeance des mères )... ou pas. Je suis quasi sure de le commander bientôt, car j'ai lu cet ouvrage en une semaine, à chaque moment disponible et j'ai été très vite emmenée dans l'aventure de ces femmes et de ces indiens. Coup de coeur...

Après avoir lu une romance sur les Indiens (Comanches), j’ai opté pour cette histoire bien plus réaliste qu’on m’a conseillée. J’ai cru qu’il s’agissait d’une tranche d’Histoire méconnue, mais en fait, ce récit est une fiction basée sur un fait historique et racontée à la première personne. Bien que l’auteur soit à moitié français, les Français en prennent pour leur grade dans ce récit.May Dodd décrit sa vie au jour le jour, les bonnes surprises comme les mauvaises. On découvre le quotidien de sa tribu d’accueil. Les Indiens ne sont pas des anges, pourtant ils se montrent souvent plus humains, plus justes et surtout plus ouverts d’esprit et moins sexistes que les Blancs ! La voracité bouffe les âmes de ces derniers, encore plus lorsqu’on trouve de l’or sur les terres dévolues ad vitam aeternam aux Indiens ! Vous connaissez la suite… J’ai beaucoup apprécié aussi la fin du livre qui nous livre des informations utiles, dont les plus récentes datent de notre époque moderne (1997).Anecdote amusante : les Indiens nomment les individus (leurs semblables et les étrangers) en se basant soit sur leur apparence, soit sur un acte marquant. Ca génère des noms souvent drôles comme « Le wapiti qui siffle », « Chair puante » (il ne devait pas se laver souvent, celui-là … », « Pattes de dinde » et, le plus surprenant : « Celui qui a vu l’antilope faire ses besoins » !

Une œuvre de fiction, étayée par les solides connaissances historiques et culturelles de Jim Fergus, qui montre dans toute son âpreté ce qu'a été l'achèvement de la conquête de l'Ouest américain par les Européens au XIXème siècle.On s'attache aux personnages de ce roman tout au long du récit à travers la lecture des pages du journal de May Dodd l'héroïne principale. On vibre avec elle et ses compagnes face aux extraordinaires découvertes qui parsèment leur long cheminement dans les grandes plaines de l'Ouest et on frémit aussi lorsque la violence surgit de manière inattendue et implacable.Jim Fergus a su éviter de caricaturer ce choc entre deux civilisations que tout oppose en mettant en scène des personnages charnières ouverts aux différences de l'autre, à l'image du chef Cheyenne Little Wolf ou de May Dodd.

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